On a beau noyer le poisson : nos émotions finissent toujours par nous rattraper. Une goutte, deux, trois, cinq, cent et le verre est plein. Alors, il déborde et on a l'impression qu'il ne s'arrêtera jamais de couler. Je suis, pour ma part, une grande adepte de la technique "cocotte-minute". J'emmagasine, je mets de côté,… Lire la suite Du poids des maux